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Entretien

avec Daniel Hahling.

Daniel Hahling, notre ancien directeur étant parti à la retraite, une nouvelle équipe de direction lui a succédé. Avant son départ, nous lui avons posé quelques questions sur ses années passées à la direction de FH Suisse.

Pouvez-vous nous raconter votre parcours avant de devenir directeur de FH Suisse en 2016 ?
En tant qu’ingénieur en électrotechnique, j’ai travaillé d’abord dans les transformateurs, puis rapidement dans l’électronique pour la physique nucléaire, puis pour l’aéronautique. Je me suis spécialisé dans la gestion qualité, poste que j’ai occupé pendant plus de 25 ans pour la certification d’entreprises et de systèmes électroniques critiques.


De quelles réalisations êtes-vous le plus fier en tant que directeur de FH Suisse?
Premièrement d’avoir obtenu la certification Zewo, puis, grâce à l’énergie persévérante de notre équipe FH Suisse et du comité, d’avoir accédé au programme Learning 360º d’Interaction, un programme financé par la confédération, rêve de Roger Zürcher, notre directeur des programmes. D’avoir pu réaliser un beau film sur l’agroécologie avec des paysans de Suisse et d’Afrique. Et pour terminer, l’évolution de notre évènement annuel pour la journée mondiale de l’alimentation, que j’appelle « AgroEco Nord-Sud », commencé modestement un après-midi de 2017 avec la ferme de la Touvière et qui se réalise cette année, pour sa 5ème édition, sur 2 jours et en partenariat avec plusieurs associations de la Plateforme Souveraineté Alimentaire de la Fédération Genevoise de Coopération (FGC), des acteurs de l’agroécologie et en collaboration avec la ville de Genève.

Quels ont été les défis les plus importants auxquels vous avez dû faire face en tant que directeur de FH Suisse, et comment les avez-vous surmontés ?
Le premier a été la préparation pour pouvoir postuler au programme de la DDC avec le peu de ressources à disposition. D’abord en mettant en place les exigences organisationnelles pour la certification Zewo, puis celles liées aux nouveaux contrôles financiers de l’organisation, et des programmes avec les audits annuels y relatifs.
Surmonter ces défis n’a été possible qu’avec l’aide engagée de toutes les parties prenantes avec lesquels j’ai eu beaucoup de plaisir à travailler. Depuis l’équipe du bureau FH Suisse, notre comité, nos bénévoles, mais aussi notre fiduciaire et nos réviseurs qui se sont vraiment engagés pour la réussite de nos programmes, et bien sûr, tous nos donateurs, privés et fondations. Je ne peux pas oublier la FGC qui est notre partenaire de base qui nous accompagne et nous soutient depuis des années.

Quels sont vos projets personnels pour la retraite, et envisagez-vous de rester impliqué dans des causes sociales ou humanitaires ?
Oui, j’ai rejoint le comité de FH Suisse pour continuer à apporter mon soutien là où mon expérience et mon temps peut aider. Je suis aussi en soutien pour une autre association de coopération et dans l’organisation d’évènements dans le domaine de la qualité. Mais je vais aussi passer plus de temps avec mes petits-enfants et ma famille.
 

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